Dans les civilisations de l’Antiquité, les canons de beauté féminine étaient souvent associés aux divinités. Les sculptures grecques et romaines représentaient des déesses telles qu’Aphrodite et Vénus avec des formes idéalisées, symboles de la fertilité, de la fécondité et de la beauté. Les femmes étaient admirées pour leurs courbes voluptueuses, leurs cheveux luxuriants et leurs traits délicats, incarnant ainsi l’idéal de la féminité et de la grâce.
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Le Moyen Âge : La Pâleur et la Pudicité
Au Moyen Âge, les canons de beauté féminine étaient souvent dictés par des normes sociales et religieuses strictes. La pâleur de la peau était considérée comme un signe de statut social élevé, car elle indiquait que la femme n’était pas exposée au soleil en travaillant à l’extérieur. La pudicité était également valorisée, les femmes étant encouragées à dissimuler leur corps sous des vêtements amples et des voiles pour préserver leur vertu et leur chasteté.
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La Renaissance : L’Épanouissement de la Féminité
Avec la Renaissance, les canons de beauté féminine et l’érotisme des femmes ont connu un changement radical. Les peintures de l’époque mettaient en valeur des femmes aux formes plus pleines et plus rondes, telles que celles représentées par les artistes comme Rubens. La peau pâle était toujours appréciée, mais les femmes étaient également encouragées à afficher un teint rosé, symbole de santé et de vitalité. Les cheveux longs et bouclés étaient également à la mode, ajoutant une touche de romantisme et de féminité à l’esthétique de l’époque.
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Le XVIIIe Siècle : L’Élégance et la Grâce Rococo
Au XVIIIe siècle, l’esthétique féminine était influencée par le style rococo, caractérisé par l’élégance, la grâce et l’extravagance. Les femmes portaient des robes somptueuses ornées de dentelle, de rubans et de volants, mettant en valeur leur taille fine et leurs épaules délicates. Les cheveux étaient coiffés de manière élaborée, souvent agrémentés de perruques et de chapeaux décoratifs. La peau pâle restait un idéal de beauté, mais les femmes commençaient également à utiliser des produits cosmétiques pour ajouter une touche de couleur à leurs joues et à leurs lèvres.
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Le XIXe Siècle : La Vierge Victorienne et la Femme Fatale
Au XIXe siècle, les canons de beauté féminine étaient fortement influencés par les idéaux de la Vierge victorienne et de la femme fatale. D’un côté, la femme idéale était douce, pure et réservée, avec des traits délicats et une peau pâle. De l’autre côté, la femme fatale était séduisante, audacieuse et provocante, avec des courbes voluptueuses et un regard envoûtant. Les corsets étaient couramment portés pour affiner la taille et mettre en valeur les formes féminines, bien que cette pratique soit critiquée pour son effet néfaste sur la santé des femmes.
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Le XXe Siècle : La Révolution de la Mode et de la Beauté
Au XXe siècle, les canons de beauté féminine ont été bouleversés par la révolution de la mode et de la beauté. Les années 1920 ont vu l’avènement du style flapper, caractérisé par des coupes de cheveux courtes, des robes droites et des silhouettes androgynes. Les années 1950 ont ramené l’accent sur la féminité avec des robes à taille cintrée et des jupes évasées, tandis que les années 1960 ont été marquées par l’émergence du mouvement de libération des femmes et de la beauté naturelle.
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Le XXIe Siècle : La Diversité et l’Acceptation de Soi
Au XXIe siècle, les canons de beauté féminine sont devenus plus diversifiés et inclusifs que jamais. Les femmes sont encouragées à embrasser leur individualité, leur diversité ethnique, leur forme de corps et leur âge. Les médias sociaux et les campagnes publicitaires mettent en valeur une gamme plus large de beautés, allant des mannequins grande taille aux femmes aux cheveux gris. L’accent est mis sur l’acceptation de soi et la célébration de la beauté dans toutes ses formes, marquant ainsi une évolution significative dans la perception de la féminité et de la beauté à travers les âges.
A propos de l’autrice :
Moi c’est Boule d’Amour. J’écris des articles sur ce blog pour vous faire aimer les culs des femmes. Des plus grosses fesses, aux boules les plus menus, rien de remplace la sensualité érotique d’un popotin féminin.
